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L'hygiène
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Aiguière en laiton incrusté d’or et d’argent
Le Caire, musée d’Art islamique, n°inv.15091 |
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L’aiguière servait à verser de l’eau sur les mains des convives avant et après les repas. Ce souci d’hygiène était doublé d’une volonté d’afficher le faste et la prospérité des hôtes.
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Bassin en cuivre
Le Caire, musée d’Art islamique, n° inv. 15099 |
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Le bassin porte le nom du sultan mamelouk Qa’it Bay (1468-1496 ap J.-C.). Utilisé dans les mêmes circonstances que l’aiguière, le bassin affiche le même caractère ostentatoire.
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Jarre en marbre
IXe H./ XVe ap. J.-C.
Le Caire, musée d’Art islamique, n°inv. 125 |
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Cette jarre à trois anses porte le nom du sultan Qâ’it Bay. Dans la civilisation arabo-islamique, offrir aux passants la possibilité de se désaltérer à une eau pure a toujours été considérée comme faire acte de foi. Les jarres analogues à celles-ci proviennent de fontaines publiques ou d’édifices religieux comme les mosquées et les madrasas.
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